Une vision transversale du droit qui renforce la relation de confiance avec les clients.
Face à la complexité créée par l’inflation législative et la précision de la réglementation, les cabinets d’avocats d’affaires prennent usuellement l’option de la spécialisation.
Éric, à l’inverse, estime qu’une pratique généraliste et transversale est un atout majeur. Interlocuteur unique et réactif, il offre à ses clients une gamme élargie de compétences et d’interventions.
Évidemment, s’agissant des matières qui nécessitent une compétence pointue, Éric a recours à un réseau de confrères spécialisés, notamment en droit social, droit fiscal ou droit de la concurrence.
Conseil et contentieux : une opposition factice
Une pratique éprouvée du conseil, d’une part, du contentieux, d’autre part, conduit à la conclusion que ces deux activités ne s’opposent pas ; à l’inverse, elles se complètent, se renforcent et se nourrissent réciproquement.
Au sens commun, le rôle de l’avocat est d’assigner, de conclure, d’exposer un dossier en présentant les faits, en interprétant le droit ; l’avocat porte la robe et plaide. Mais l’avocat doit également accompagner les processus de négociation et de contractualisation de ses clients.
L’un ne va pas sans l’autre.
01
La pratique judiciaire et la culture contentieuse permettent, à l’occasion d’une activité de conseil, de hiérarchiser les sujets et d’identifier les clauses susceptibles d’interprétation judiciaire.
L’expérience du contentieux permet d’anticiper les risques.
02
La pratique du conseil, de la négociation poussée et la culture du compromis entraînent des réflexes de discussions et de recours aux modes alternatifs de règlement des litiges.
Avant de prendre des risques judiciaires, en apprécier la portée et les implications.